Suite à beaucoup de demande, j'ai fait un article pour donner le
schéma de montage et la façon de tourner les cartes pour obtenir ce
galon si aprécié par les vikings, le ram's horn ou widderhorn.
Hors j'avais aussi bien prévenu que ce motif est hélas un pale
palliatif à l'entrelac dont les ondit font remonter le motif au XVIIIem
siècle dans l'est.
L'entrelac étais pour beaucoup (et moi aussi) un motif semblant
complexe (trés complexe) et impossible à réaliser sans prise de tête.
Et bien voilà, plusieurs se sont penchés dessus et fut arrivé mon tour.
Grace à Carto magic de Hervald je peux même vous proposer trois
enfilage et trois façons de tourner. A vous de choisir celle qui vous
plaira le plus.
Ceci est le nouveau blog de Perline la Tisserande à travers lequel je vous ferais partager ma passion de la reconstitution, de la couture et du tissage. Vous retrouverez petit à petit mes anciens tutoriels avec de nouvelles photos, de nouveaux tutoriels, mes travaux en cours et finis.
mercredi 30 avril 2014
mercredi 16 avril 2014
dimanche 13 avril 2014
Brève : Pontoise avril 2014
Un petit billet pour dire que nous sommes bien à pontoise. En bas et tout de suite à droite en entrant. Le 3em stand dz la première travée.
Je vous y attend pour vous dire bonjour. (J'essayerais d'ajouter une photo ce matin. Vive les smartphones avec de la batterie)
lundi 7 avril 2014
Cocardes Révolutionnaires, révolution française : suite.
Un petit rappel de ce qu'il se dit sur la cocarde révolutionnaire : http://www.1789-1815.com/1789_07_cocarde1.htm
Une fois les cocardes tissées, il faut les coudre.
Ayant eu une cocarde empire dans les mains et vu des photos de cocardes révolutionnaire, je suis partie sur la même façon de faire : plier simplement les bords, plisser et coudre à grand points pour avoir la forme ronde.
Là est arrivée la première déconvenue : malgrès la finesse de la laine utilisée, celle ci est encore trop épaisse et je le savais, du coup le nombre de plis est bien moins important que sur les originales, et le plissage a été un peu fastidieux. Mais j'y suis arrivée à grand renfort d'épingles et de vapeur. Les premières n'ont pas été passé à la vapeur plissées avant d'être cousu et le résultat est moins joli. J'ai afiné la méthode au fur et à mesure.
En refaisant de nouveau quelques recherches, je suis tombées sur des cocardes tout coton, des cocardes en soie, des cocardes en laine, des cocarde en soie et argent...
Au niveau du tissage et du plissage on retrouve deux types, un ruban en reps dont la chaine est aux couleurs voulues plissée sur un bord avec une couture de fermeture ou une bande plissée au milieu pour faire comme un nœud papillon dont on attache les bords.
Il reste aussi les cocarde faites de plusieurs tissus de couleurs différentes mais elles ne correspondaient pas à ce que l'on m'as commandé.
Et voici donc la première fournée après laquelle il devrais y en avoir d'autres (dès que j'aurais récupéré de la laine blanche)
Sur les 12, j'en garde tout de même 2 en présentation et modèle de réalisation.
Une fois les cocardes tissées, il faut les coudre.
Ayant eu une cocarde empire dans les mains et vu des photos de cocardes révolutionnaire, je suis partie sur la même façon de faire : plier simplement les bords, plisser et coudre à grand points pour avoir la forme ronde.
Là est arrivée la première déconvenue : malgrès la finesse de la laine utilisée, celle ci est encore trop épaisse et je le savais, du coup le nombre de plis est bien moins important que sur les originales, et le plissage a été un peu fastidieux. Mais j'y suis arrivée à grand renfort d'épingles et de vapeur. Les premières n'ont pas été passé à la vapeur plissées avant d'être cousu et le résultat est moins joli. J'ai afiné la méthode au fur et à mesure.
En refaisant de nouveau quelques recherches, je suis tombées sur des cocardes tout coton, des cocardes en soie, des cocardes en laine, des cocarde en soie et argent...
Au niveau du tissage et du plissage on retrouve deux types, un ruban en reps dont la chaine est aux couleurs voulues plissée sur un bord avec une couture de fermeture ou une bande plissée au milieu pour faire comme un nœud papillon dont on attache les bords.
Il reste aussi les cocarde faites de plusieurs tissus de couleurs différentes mais elles ne correspondaient pas à ce que l'on m'as commandé.
Et voici donc la première fournée après laquelle il devrais y en avoir d'autres (dès que j'aurais récupéré de la laine blanche)
Sur les 12, j'en garde tout de même 2 en présentation et modèle de réalisation.
samedi 5 avril 2014
Cocarde 1ère partie : tombée du métier
On m'a demandé si je pouvais réaliser des cocardes révolutionnaires correspondant au plus près des cocardes d'origine.
Il faut savoir que pendant la révolution française trois (ou 5) cocardes se sont côtoyées, portées en même temps ou pas selon les théories. Hors à priori on ne trouve facilement qu'une cocarde Napoléonienne alors que les cocardes révolutionnaires sont boudées. (bleue rouge blanc)
On m'a donc donné un exemple que vous retrouverez ici :http://catalogue.drouot.com/ref-drouot/lot-ventes-aux-encheres-drouot.jsp?id=1552635
Et prété une cocarde originale afin que je puisse voir le montage, le tissage etc...
Nous avions donc sur la cocarde originale une chaine espacée de fil (coton lin ou chanvre) recouverte de laine trés trés fine.
Après beaucoup de recherches infructueuse, la meilleure laine que nous ayons trouvé autant niveau coloris qu'épaisseur a été chez micky.
Voici donc la première partie : tombée du métier 12 cocardes prêtes à êtres cousues.
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